Toyota GT86 : de l’hybride pour la prochaine génération
Publié le 24 janvier 2017 à 06h00 | Mathieu PARAIN | 2 minutes
Récemment restylée, la Toyota GT86 développe une puissance de 200 ch exclusivement transmise aux roues arrière
Pour mieux affronter la concurrencer et rentrer dans les « clous » des normes antipollution, la petite sportive devrait adopter une motorisation hybride. Il faudra toutefois attendre 2019 et le lancement de la seconde génération pour pouvoir profiter de la technologie essence-électrique sur la Toyota GT86 et sa cousine technique Subaru BRZ.
Une idée ancienne
Accessible, puissante et amusante à piloter : la Toyota GT86 a tout d’une voiture plaisir. Récemment restylée, la petite sportive et sa cousine Subaru BRZ devraient toutefois bénéficier d’ici la fin de la décennie d’une double motorisation hybride essence-électrique. L’idée de monter la technologie Hybrid Synergy Drive (HSD) du constructeur nippon n’est nouvelle : en 2013, en marge du salon de Francfort, un responsable de la marque confiait qu’une telle déclinaison était en cours de développement. Un projet qui a semble-t-il été remisé dans la cartons avant de devenir à nouveau d’actualité en ce début d’année.
Hybride light ou rechargeable ?
Selon le site Autoevolution, la seconde génération des deux petites sportives attendues pour 2019 devrait voir leur motorisation être électrifiée. Une façon de respecter les normes antipollution et de conserver le 4 cylindres à plat sans faire appel au turbo. Sans que l’on sache si les Toyota et Subaru adopteront un système hybride léger destiné à doper les performances – notamment lors des reprises et accélérations – ou si elles embarqueront un dispositif hybride « classique » voire hybride rechargeable. Une bonne nouvelle qui ne devrait donc pas nuire aux performances de l’actuelle génération qui, grâce ses 200 ch et à sa propulsion, abat le 0 à 100 km/h en 7,6 s et atteint les 226 km/h en vitesse de pointe.
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SPORTIVE COMMUNE : en coopération, les constructeurs BMW et Toyota le développement de leurs futures Z5 et Supra dont la commercialisation interviendra courant 2018. Ensemble, elles partageraient une architecture commune, l’utilisation d’une cellule « habitable » en fibres de carbone renforcées (issues de la citadine électrique BMW i3) et l’emploi d’une double motorisation hybride. Combinant un bloc 6 cylindres essence à deux blocs électriques, le groupe motopropulseur développerait une puissance cumulée supérieure à 300 ch.