Toyota Auris Hybrid : légère mise à jour printanière

Publié le 14 juin 2016 à 07h00 | Mathieu PARAIN | 2 minutes

Baptisée Touring Sports, la version break de la Toyota Auris Hybrid bénéficie également de petites évolutions logicielles et techniques

Disponible en versions berline et break Touring Sports, la Toyota Auris Hybrid est choyée par le constructeur en recevant une petite mise à jour du système d’infodivertissement et de la double motorisation essence-électrique. Et pour cause : cette variante représente 8 ventes sur 10 de la compacte en France.

 

Nouvelles fonctionnalités et mises à jour gratuites

Lancée en janvier 2013, la Toyota Auris de seconde génération a profité d’un restylage de mi-carrière en juin 2015. A cette occasion, le millésime 2016 inaugurait un design plus statutaire et une qualité de finition en nette hausse. Moins d’un an plus tard, la compacte produite sur le site britannique de Burnaston reçoit une mise à jour printanière. Dans l’habitacle d’abord avec quelques évolutions logicielles apportées au système d’infodivertissement Toyota Touch & Go 2.

Parmi les principales améliorations : des graphismes plus clairs, de nouvelles fonctionnalités ou encore une connexion simplifiée au portail client Toyota facilitant la création de compte et le téléchargement d’applications. Par ailleurs, le constructeur offre également 3 ans de mises à jour gratuites de la cartographie (navigation) et des services connectés en ligne (dont TomTom, Coyote et les informations prix carburants).

 

Des accélérations plus linéaires

Sous le capot, les évolutions touchant la double motorisation hybride sont également limitées. Avec l’arrivée des nouveaux Toyota RAV4 Hybrid et Toyota Prius 4 dont la conduite dynamique est plus agréable, la petite sœur Auris devait se mettre à jour. Les ingénieurs ont donc obtenu une meilleure corrélation entre les montées en régime du groupe thermique et la vitesse du véhicule, offrant ainsi une sensation plus linéaire à l’accélération.

Essai Toyota Auris : l’hybride compétitif face au diesel (+ photos)

De petites retouches qui procurent des sensations de conduite plus naturelles, sans altérer son efficacité. Quant aux caractéristiques du groupe motopropulseur issu de l’ancienne génération de Prius, elles restent inchangées. Un moteur essence 1,8 l de 99 ch (4 cylindres à cycle Atkinson) est associé à un bloc électrique de 80 ch pour une puissance cumulée de 136 ch. Piloté par une « boîte de vitesses » à variation continue, l’ensemble offre une consommation moyenne (relevée lors de notre essai) s’établissant aux alentours de 5 l/100 km

Mathieu PARAIN

Passionné par les motorisations alternatives et attentif à l’impact des normes d’émissions sur le secteur automobile, Mathieu a débuté sa carrière de journaliste en Suisse avant de rejoindre la place de marché dédiée aux véhicules électriques et hybrides.



Laisser un commentaire