Toyota Auris hybride : le restylage au salon de Genève (+ photos)
Publié le 05 mars 2015 à 09h19 | Fabrice SPATH | 2 minutes
La nouvelle face avant de la Toyota Auris hybride intègre des optiques à LED dotés d’une nouvelle signature lumineuse
La Toyota Auris hybride s’expose au salon de Genève 2015 dans sa version restylée. Commercialisée en France depuis janvier 2013, la berline compacte bénéficie d’une mise à jour de son design, de son habitacle et de sa motorisation essence-électrique. Le break Auris Touring Sports est également concerné par ces modifications.
Une personnalité plus affirmée
Seule berline compacte du marché à proposer trois types de motorisations – essence, diesel et hybride –, la Toyota Auris s’offre un lifting de mi-carrière à l’occasion du salon automobile de Genève (du 5 au 15 mars 2015). Lancée en janvier 2013, la seconde génération a été déclinée en version break dès le mois de juin 2013. Baptisé Touring Sports, l’Auris break bénéficie également de ce lifting bienvenu. Plus moderne que la phase 1, cette nouvelle Auris arbore une face avant avec des optiques à LED intégrant une nouvelle signature lumineuse qui lui confère une personnalité plus marquée.
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Une insonorisation renforcée
Faisant la part belle au chrome, la calandre avant est dotée dans sa partie inférieure de lamelles laquées noir intégrant les feux antibrouillard. La poupe bénéfice quant à elle d’un nouveau bouclier et de feux légèrement redessinés. Dans l’habitacle, la planche de bord a été repensée et les matériaux utilisés sont moins disparates, une caractéristique qui augmente la qualité perçue de cette nouvelle Toyota Auris. L’instrumentation derrière le volant intègre désormais un nouvel écran TFT de 4,2 pouces. Les ingénieurs de la marque ont également amélioré l’insonorisation du véhicule (joints supplémentaires sur les portes, tableau de bord, capot, …).
Une motorisation hybride moins émettrice
Sous le capot, la version hybride de l’Auris n’évolue quasiment pas. La technologie Hybrid Synergy Drive (HSD) combinant un moteur essence de 99 ch à un moteur électrique de 80 ch délivre toujours une puissance cumulée de 136 équidés (les deux blocs ne délivrent pas leur pleine puissance en même temps). Seule véritable différence entre les phases 1 et 2 : les émissions de CO2 qui passent de 87 g/km à 79 g/km pour la berline. En France, cette motorisation hybride a représenté 79 % des ventes du modèle sur l’année 2014 (contre plus de la moitié dans le reste de l’Europe). Cette nouvelle mouture devrait arriver dans les concessions européennes dans les prochaines semaines.