Lexus LC 500h : un coupé hybride nommé désir à Paris

Publié le 04 octobre 2016 à 16h30 | Mathieu PARAIN | 2 minutes

Dans sa livrée blanche, le Lexus LC 500h fait tourner les têtes au Mondial de l’Automobile de Paris

Après avoir dévoilé son sublime coupé LC au salon Detroit puis, en première européenne à Genève, Lexus entame la dernière ligne droite au Mondial de l’Automobile de Paris avant sa commercialisation. Sous le capot, le Lexus LC 500h est animé par une double motorisation hybride essence-électrique de 354 ch.

 

Un coupé 2+2 au design très réussi

Le Lexus LC 500h n’en finit plus de courir les salons automobiles : après Detroit en janvier, Genève en mars, voici Paris. A l’occasion du Mondial, le coupé 2+2 dans sa nouvelle livrée blanche dispute la vedette au concept ux, préfiguration du remplaçant de la compacte Lexus CT 200h. Proche du concept LF-LC dévoilé en 2012, le design est une vraie réussite. Si le petit frère du Lexus RC 300h essayé ici-même il y a quelques mois n’est plus une nouveauté, il fait toujours autant tourner les têtes.

 

Une boîte de vitesses à 4 rapports

Techniquement, le LC embarque un groupe hybride associant le bloc V6 essence de 3,5 l inauguré par le nouveau Lexus RX 450h et un bloc électrique, le tout développant une puissance totale de 354 ch. Une cavalerie qui lui permettra d’abattre le 0 à 100 km/h en moins de 5 secondes et, surtout, de se distinguer de la concurrence. La véritable innovation réside dans une inédite « boîte de vitesses automatique » CVT à 4 rapports qui dispose d’un mode manuel via les palettes situées derrière le volant. Pour le tarif, il faudra patienter jusqu’au lancement du Lexus LC 500h attendu pour début 2017.

Essai Lexus RC 300h : l’alternative hybride aux coupés allemands 

99 % DES VENTES : en France, la division premium du groupe Toyota écoule 99 % de ses modèles avec une motorisation hybride essence-électrique. Alternative à la concurrence premium allemande, la plupart des Lexus bénéficient d’un bonus « écologique » de 750 euros et surtout d’une exonération partielle de la taxe sur les véhicules de société (TVS).

Mathieu PARAIN

Passionné par les motorisations alternatives et attentif à l’impact des normes d’émissions sur le secteur automobile, Mathieu a débuté sa carrière de journaliste en Suisse avant de rejoindre la place de marché dédiée aux véhicules électriques et hybrides.



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