Mariage royal : une Jaguar électrique pour Meghan et Harry

Publié le 21 mai 2018 à 07h00 | Mathieu PARAIN | 2 minutes

Jaguar a mis à disposition des jeunes mariés son prototype électrique Type E-Zero pour rejoindre la soirée privée

Pour rejoindre depuis Windsor la fête privée organisée en l’honneur de leur union, Meghan et Harry ont emprunté un prototype électrique basé sur la mythique Jaguar Type E. Concept exclusif, le véhicule a pour l’occasion troqué son 6 cylindres contre un bloc électrique de près de 300 ch.


Quoi de mieux que de rouler en prototype Jaguar électrique pour conclure la phase publique d’une journée exceptionnelle ? A l’occasion du mariage princier qui a eu lieu ce samedi au château de Windsor, les époux Meghan et Harry ont rejoint en voiture électrique le château royal situé à Frogmore House où se tenait la soirée donnée en leur honneur.

 

Prototype exclusif

Plus précisément une Jaguar Type E-Zero, concept que le constructeur britannique a mis gracieusement à la disposition des jeunes mariés. Un prototype unique dont le 6 cylindres en ligne a été remplacé par un bloc électrique développant une puissance de 220 kW, soit près de 300 ch, le tout alimenté par une batterie Lithium-Ion d’une capacité de 40 kWh (vs 41 kWh sur la citadine Renault ZOE).

 

6 cylindres vs moteur électrique

La transformation de ce roadster lancé initialement en 1968 et immatriculé E19-05-18 – référence à la date du mariage – a permis d’alléger la caisse de 46 kg. Une cure d’électrification qui, selon la firme de Coventry, permet à la Type E d’abattre le 0 à 100 km/h en seulement 5,5 secondes pour une autonomie théorique de 270 km. D’une valeur approximative de 400 000 euros, le véhicule a également été l’occasion pour Jaguar de mettre en avant son engagement en faveur de la mobilité électrique.

Engagement qui s’est traduit début mars au salon de Genève par le lancement de son premier SUV « zéro émission », l’i-Pace, concurrent des Tesla Model X, Audi e-tron Quattro, BMW iX3 et autres Mercedes EQC.

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Mathieu PARAIN

Passionné par les motorisations alternatives et attentif à l’impact des normes d’émissions sur le secteur automobile, Mathieu a débuté sa carrière de journaliste en Suisse avant de rejoindre la place de marché dédiée aux véhicules électriques et hybrides.



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