Bastille Plage : la Citroën E-Méhari se dévoile à Paris
Publié le 21 mai 2016 à 09h39 | Mathieu PARAIN | 2 minutes
« Sur les pavés, la plage » : en détournant le célèbre slogan de mai 68, le marketing de Citroën veut affirmer le caractère frondeur de sa E-Méhari
Renaissance électrique de la célèbre voiture de plage, la Citroën E-Méhari fait l’événement place de la Bastille. Aujourd’hui et demain, les Parisiens pourront découvrir le nouveau modèle électrique de la marque, l’essayer, se prélasser sur des chaises longues ou encore jouer au beach-volley.
Esplanade au-dessus du port de l’Arsenal
Produite à plus de 145 000 exemplaires entre 1968 et 1987, la Citroën Méhari renaît avec une motorisation électrique en partenariat avec l’industriel Bolloré. Sur la base d’une Bolloré BlueSummer, la nouvelle E-Méhari offre une autonomie moyenne de 150 km pour un tarif unique de 25 000 euros (hors location de la batterie, à partir de 79 euros/mois). Pour les beaux jours, la marque aux chevrons organise ce samedi et ce dimanche (de 11 à 19 heures) une opération séduction place de la Bastille. A cette occasion, l’esplanade située au-dessus du port de l’Arsenal a été recouverte de 250 tonnes de sable fin.
Essais et nombreuses animations
Au programme de cet événement baptisé Batille Plage : l’essai de la Citroën E-Méhari et de nombreuses animations. Chaises longues, poufs, parasols, terrains de pétanques et de beach-volley ou encore château gonflage seront à disposition des visiteurs qui profiteront d’une météo quasi estivale sur la capitale. 12 E-Méhari sont réquisitionnés pour l’occasion tandis que plusieurs dizaines d’autres ont ponctuellement remplacé les Bolloré Bluecar sur plusieurs stations Autolib’ des 3e, 4e et 18e arrondissement. Retrouvez tous les détails de l’événement sur sa page Facebook dédiée …
Essai Citroën E-Méhari électrique : esprit, es-tu là ?
IMMATRICULATIONS : second véhicule électrique du constructeur – après la citadine C-Zero –, la Citroën E-Méhari a été commercialisée à 112 exemplaires le mois dernier.
Mathieu PARAIN
Passionné par les motorisations alternatives et attentif à l’impact des normes d’émissions sur le secteur automobile, Mathieu a débuté sa carrière de journaliste en Suisse avant de rejoindre la place de marché dédiée aux véhicules électriques et hybrides.
