Alfa Romeo : l’hybride rechargeable en préparation
Publié le 08 février 2016 à 18h07 | Mathieu PARAIN | 2 minutes
Imaginé par Motor1.com, le futur crossover d’Alfa Romeo concurrent des Audi Q3, BMW X3 et Mercedes GLC héritera d’un groupe hybride rechargeable
Objet de rumeurs insistantes, l’arrivée d’une motorisation hybride rechargeable sous le capot d’une Alfa Romeo apparaît désormais comme une évidence. La technologie essence-électrique devrait prendre place sur la quasi-totalité des nouveaux modèles.
Alfa, Chrysler, Maserati : hybride rechargeable pour tous
Si Sergio Marchionne, le Président du groupe Fiat Chrysler Automobile (FCA), s’est toujours opposé à l’électrification grandissante des véhicules – lui préférant l’amélioration des motorisations thermiques existantes –, la mise en œuvre de normes antipollution de plus en plus contraignantes aura eu raison de son inflexibilité. Au dernier salon de Detroit, la marque Chrysler a ainsi présenté la version hybride rechargeable de son nouveau monospace baptisé Pacifica. Animé par un inédit V6 essence combiné à deux blocs électriques, le concurrent de la Toyota Prius + devrait faire profiter son groupe aux marques sœurs Alfa Romeo et Maserati.
Au moins 6 nouveautés Alfa Romeo d’ici 2020
Selon le media Motor1.com, le trèfle à quatre feuilles du constructeur milanais devrait devenir plus vert dans les prochaines années. Si le plan produit Alfa Romeo a été quelque peu retardé dans le cadre de la création du groupe FCA, celui-ci va être maintenu. Sur la période 2017-2020, pas moins de 6 nouveautés sont programmées parmi lesquels un SUV concurrent des Audi Q3, BMW X3 et Mercedes GLC ainsi qu’une berline concurrente des Audi A6, BMW Série 5 et Mercedes Classe E. Et comme leurs homologues allemandes, ces deux nouveaux modèles Alfa intégreront un groupe hybride rechargeable essence-électrique.
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FIAT 500e : au printemps 2014, le patron italien exhortait les clients californiens à ne pas acheter la version électrique de sa Fiat 500. En cause : une perte sèche de 10 000 dollars par véhicule. L’Etat de Californie avait imposé au constructeur de disposer à son catalogue d’au moins un modèle 100 % électrique pour pouvoir continuer à commercialiser des modèles thermiques conventionnels.