Toyota Yaris Hybride : restylage et améliorations pour Genève
Publié le 15 janvier 2017 à 18h00 | Mathieu PARAIN | 2 minutes
Contrairement à cette version sportive, le restylage de la Toyota Yaris ne sera pas marqué par l’arrivée d’une canule d’échappement centrale
Au prochain salon de Genève, la citadine à motorisation hybride recevra un restylage de mi-carrière. Des évolutions et améliorations qui profiteront à l’ensemble de la gamme Toyota Yaris et seront couronnées en Suisse par la présentation d’une variante sportive forte de 210 ch. Une cavalerie qui ne devrait pourtant pas bénéficier de la technologie HSD maison.
Seule sur son marché
Premier véhicule à avoir obtenu le label Origine France Garantie, la Toyota Yaris produite sur le site nordiste d’Onnaing Valenciennes n’est pourtant pas la première citadine hybride commercialisée en France. A son arrivée sur le marché hexagonal à l’automne 2012, la nippone rejoignait ainsi sa consœur Honda Jazz Hybrid dont la seconde génération n’aura finalement pas eu le privilège d’être importée sur le Vieux Continent. Une défection qui profite à plein à la citadine aux trois ellipses qui, à l’occasion du prochain salon de Genève (du 9 au 19 mars 2017) bénéficiera d’un restylage de mi-carrière.
Améliorations techniques
Sur les deux premières photos officielles dévoilées par le constructeur et qui ne sont en réalité que la nouvelle version déjà disponible au Japon sous l’appellation Vitz, la « nouvelle » Toyota Yaris reçoit une nouvelle face avant, une poupe redessinée et surtout de nouveaux optiques arrière effilés en deux parties. Un appendice qui tranche avec le classicisme de la ligne actuelle mais qui déroutera peut-être une partie de la clientèle actuelle. Des clients qui, en France, optent à 50 % pour la motorisation hybride essence-électrique qui devrait profiter de quelques améliorations techniques, à l’image de ce qu’a connu sa grande sœur Auris.
Essai Toyota Yaris Hybrid : un succès plus que mérité
Variante sportive
Dans l’habitacle modernisé, la firme de Yokohama promet notamment un écran tactile de plus grande taille qui, on l’espère, sera disponible sous nos latitudes. Reste la version sportive de 210 ch qui, contrairement au concept au Yaris Hybrid-R forte de 400 ch, ne sera pas animée par un groupe essence-électrique mais uniquement par un bloc essence turbocompressé destiné à concurrencer les Peugeot 208 GTi et autres Renault Clio RS. Une déception à l’heure où 40 % des clients européens de la citadine optent pour la technologie Hybrid Synergy Drive (HSD).