Renault ZOE City : série limitée à partir de 99 euros/mois

OFFRE – Destinée aux petits rouleurs ainsi qu’aux citadins, la série limitée Renault ZOE City est commercialisée via une location longue durée (LLD) de 36 mois. Facturée 99 euros par mois, le prix n’inclut pas la location de la batterie (39 euros/mois). Une offre intéressante, à condition de parcourir moins de 7 500 km par an.

Longtemps numéro un des ventes de véhicules électriques en Europe, la citadine du Losange assemblée sur le site francilien de Flins est désormais distancée par sa cousine Nissan LEAF. Sur les quatre premiers mois de l’année, ZOE s’est vendue à plus de 11 000 exemplaires sur le continent, contre plus de 11 900 pour la compacte nippone produite par le site britannique de Sunderland.

Autonomie réelle de 300 km

Malgré cette baisse de forme, la citadine électrique séduit par sa polyvalence : un moteur R90 développant une puissance de 90 ch dès la finition d’accès Life, une charge accélérée en moins de 2 heures sur l’une des très nombreuses bornes déployées par les collectivités et, surtout, une « nouvelle » batterie d’une capacité de 41 kWh offrant une autonomie d’environ 300 km en conditions réelles d’utilisation.

39 euros par mois pour la batterie

Pour doper ses ventes en France, le constructeur lance une offre attractive en LLD à partir de 99 euros par mois (bonus de 6 000 euros déduit). Basée exclusivement sur la finition d’accès Life, l’offre n’inclut pas la location de la batterie – 39 euros par mois pour 7 500 km annuels – et est conditionnée par un premier loyer de 2 000 euros ainsi qu’à la reprise d'un véhicule roulant de plus de 12 ans non éligible à la prime de conversion gouvernementale.

2 pleins d’énergie par mois

Soit une location mensuelle de 138 euros par mois à destination des petits rouleurs et des citadins qui ne devront faire que deux pleins d’énergie chaque mois pour couvrir leurs besoins de mobilité. Et Renault de préciser que ZOE City est « livrée avec un câble de recharge de type 2, peut tout à fait se recharger sur le réseau de charge publique, les bornes d’autopartage ou le cas échéant, sur leur lieu de travail. » Ou, pour ceux qui habitent en copropriété, la possibilité de faire jouer le « droit à la prise ».

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